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Il y a un an jour pour jour, le gouvernement Michel entamait sa première journée de travail. A cette occasion nous dressions l’état des lieux de l’image sur Internet de ces nouveaux ministres. Entre les vieux routiers de la communication comme Didier Reynders et de jeunes ministres débutants dans l’arène nationale, les contrastes étaient forts !

Aujourd’hui, nous reprenons notre grille d’analyse pour repasser l’image de ces ministres à la moulinette.

Nous avons regroupés 18 critères d’analyse en 3 catégories qui forgent la popularité et la réputation :
  1. visibilité sur Internet,
  2. tonalité d’image (évaluation manuelle),
  3. influence sur les réseaux sociaux.
Baromètre 2015 de l’e-réputation du gouvernement fédéral belge - REPUTATION 365

Points marquants

Theo Francken est le grand gagnant de ce baromètre avec un gain de 9 places qui le propulse en 3e position. C’est sa tonalité d’image qui le prive d’un classement plus élevé. A noter que cette tonalité est très différente au sud du pays (32%) et au nord (58%).

Charles Michel reste « le 1er » du classement et son score passe de 77% à 84%, grâce notamment à une énorme couverture presse belge et européenne.

Didier Reynders garde sa 2e place grâce à sa régularité et sa diversité médiatique et sur les réseaux sociaux.

Pieter de Crem dévisse totalement (-7 places) et finit dernier à 26,8%

Willy Borsus populaire au sud est inconnu au nord. Pour Bart Tommelein, très actif sur Twitter en néerlandais, c’est l’inverse.

Le cas de Jacqueline Galant est ambivalent : elle est moquée sur les réseaux et en partie dans la presse francophone, elle est relayée de manière assez neutre dans la presse néerlandophone mais les commentaires à son sujet sur Facebook restent bienveillants et peu agressifs. Sa tonalité d’image est tout de même la plus faible de ce baromètre (39%). C’est son incompétence et son manque de stature qui sont montrés du doigt là où pour Theo Francken (2e tonalité la plus basse), c’est son agressivité et sa communication brouillonne qui sont critiqués.

L’emploi des langues sur les comptes sociaux des ministres reste majoritairement unilingue. Étrange comme stratégie lorsque l’on veut fédérer des idées et inciter au partage dans un pays trilingue.

Nous avons aussi passé à la loupe l’influence sur Twitter des ministres MR : sont-ils suivis par les journalistes et par les membres de leur propre parti ?

Tout cela est à découvrir en téléchargeant l’analyse complète.

Télécharger l’analyse complète du baromètre 2015



crédit photo : Stephane Mignon

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